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    « Chauffe toi par le feu, fils, et le matin viendra bientôt. »
    Je n’écouterais plus d’histoires d’un temps meilleur, dans cet endroit que j’ai connu par le passé. 
    Avant que j’ai fermé mes sacs, et laisser tout ça dans la poussière, derrière moi,
    J’avais un endroit que je pouvais appeler « maison », et une vie que personne ne pouvais toucher !
     
    Je suis l’énervement, et le désespoir, la famine et le froid.
    Mais je suis le seuls à avoir gardé le silence, et toujours fait ce que tu m’as dit !
    Mais j’ai transpiré pendant que tu dormais calmement, dans la sureté de ta maison.
    Toutes ces choses que tu savais, qui te rongeaient, je te les est faites oublier.
     
    Ne me tiens plus, je peu maintenant, tenir tout seul
    Je n’ai plus besoin de ton aide maintenant,
    Tu m’aurais laissé tomber, seul !
     
    Maintenant, ouvre les yeux, mon vieux, je prends mon propre chemin,
    Les vitres cassé, et routes brisées me guident à leur manière.
    La subsistance de la tranquillité n’est plus, je parlerais tout les jours
    De cette vie que j’ai perdue, sans regret comme l’histoire d’une mauvaise période.
     
    J’ai cet endroit que j’appelle maison, et une vie que personne ne peu toucher !
    Avant que tu fermes tes yeux, et ne me laisse que de la poussière.
    Tu écouteras mon histoire d’un temps meilleur, de cet endroit que je connais aujourd’hui.
    « Repose toi par la pluie, et le nuit viendra bientôt »
     
    C’est moi qui te tiens, tu ne peu plus tenir tout seul
    Tu as besoin de mon aide maintenant,
    Je ne te laisserai pas tomber…

     

    Steinko


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    Le froid du sol, la chaleur de ton corps marque le sol, c’est un pas de plus dans la neige,
    Mais les flemmes ne s’assoupissent jamais, maitrise d’un monde indomptable.
    Ces lucarnes d’inquisiteurs qui cherchent la moindre erreur pour t’étouffer, il faut t’évader
     
    Prend ma main et nous vivrons dans nos rêves que nous avions laissé derrière nous.
    Prend ma main, partons de cet endroit vers une meilleure vie.
    Destination : n’ importe où mais jamais loin de nous
     
    Tu contrôles ces impulsions, pour tourner la tète et fermer les yeux
    En passant ces nuits éveillées, retenue par ces merveilles froides qui te paralysent,
    Nous les avions envoyées dans un fin fond environnant, mais jamais ici.
    Ce fil rouge qui lie nos vies, je sais que tu es blaissée, je peu t’aider à les réparer seulement si tu le peux.
     
    Ne te contrôle pas, oublie ces personnes invisible, tu ne l’es pas.
    Tu as ton fils rouge qu’il faut couper, malgrais ta voix inaudible, tu parles.
    Ce n’est pas ce monde qui doit t’impressionner, il t’inquiétera moins,
    Un jour, je transformerai ces pensées en cris perçants
     
    Prend ma main, et je te promets que je ne te laisserai jamais disparaitre
    Prend ma main, car cet espoir est la plus grande chose qu’on saura toujours
    Et c’est tout ce que je te demanderais de me montrer.
     
    Contrôle ce sentiment que tu as toujours nié,
    Quelque chose, mais tout enfaite, que nous savons n’est que mensonge
    Comme je brule cette mémoire et observe ces cendres s’envoler,
    Et sous la fumée je te tiendrai, et demanderai si tu peux.
     
    Je rêve encore, j’attends toujours, j’en suis sur, tu es encore dans ma vie, cette partie n’est pas a toi.
    C’est une partie de moi, c’est ma vie dans ton cœur.
     
    Tenons nous la main, pour tourner la tète et fermer les yeux
    Tenons-nous la main, et cette nuit nous dormirons vraiment
    Et je te promets une vie féerique un jour âpres l’autre

     

    Steinko


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    Là-bas, au delà des rue de cette ville, les débris noirs on rempli les gouttières,
    Dans des ruelles vides de toute lumière, où les choses vivent hors de la vue.
    Là-bas, au delà de ces néons rougeoyant racleurs du ciel, toute la nuit fait écho a mon nom entre chaque voiture : « es tu heureux ou tu es ? »
     
    Met a jours ce destin imminent, nous avons laissé notre poids être porté pas le monde.
    Il est de retour et nous coupe à chaque kilomètre. Nous sommes encore dans l’ignorance.
     
    Toutes les erreurs ont-elle étaient faites ? Pouvons-nous encore être sauvés ?
    Est-il trop tard pour renverser ce que nous somme devenu ?
    Une leçon cruciale ratée a un point crucial du temps ?
    Ce qui est a moi est toujours a toi et a toi est mien …
     
    Et on continu, jours après jours à vivre comme si nos vies n’étaient pas aussi grises,
    Tandis que chaque bouffé d’air que nous prenons, nous fait suffoquer de plus en plus.
    On passe le balai sur une myriade de scènes d’une simple mère sur trois, brisée
    Sauvons nous de ce que nous somme devenu cette nuit… .
    Yeux glacés par la méfiance,
    Plus de sens du bon ou du mauvais….
     
     Met a jours ce destin imminent, on est allé si loin qu’il est temps de faire marche arrière.
    Il est de retour et nous coupe à chaque kilomètre. Mais apprenons notre ignorance.

     

    Steinko


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    [Parler]
    La music est jouée avec une fréquence calmante
    Les hauts parleurs ont doucement infiltré l’ambiance des claviers et des légères percu,
    En créant une musique séduisante qui nous conduit à minuit par des rideaux de noirceur.
    Les fenêtres étaient froides au touché, reflétant les conditions glaciales de notre extrémité immédiate.
    Les taches et les empreintes de sel sur le verre, et les stries sur la neige ont fondu, pour une cascade longueur
    La music est un peu plus fort, pourtant adouci, comme un cri aigu très lointain.
    La lucarne rougeoyait faiblement sous les conseils des vagues d’une aube imminente.
    La voiture continu sa course sur une section droite, terriblement droite, de route,
    Et elle n’a pas eu tellement besoin de changer la direction, même de deux degrés depuis les 20 dernières minutes.
     
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
    Ils se rappelleront seulement de nos sourires, c’est la seul chose qu’ils ont vu.
    Depuis longtemps séchées, quand nous nous sommes trouvés, les larmes dans lesquelles nous étions noyés.
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
     
    [Parler]
    « Pourquoi fais tu ceci ? » elle a parlé comme si elle n’attendait a aucune réponse.
    Sa voix a pénétré l’air immobile de notre environnement, tellement soudainement que mon cœur c’est emballé.
    « Je ne fais rien » ai-je dit, je n’y ai même pas cru moi-même.
    « C’est ce qu’il ya de mieux à faire, pour toi, pour moi, pour nous » ou peut être simplement pour moi pensais-je,
    Et une larme qui se forme dans le creux de son œil. La musique est versée par les hauts parleurs,
    Et nous nous perdions nous même dans la cadence. Elle a regardé un petit moment vers le bas, et a fermé les yeux
    Pour une plus qu’un clignement normal. Alors elle pleurait. Alors elle criait.
    Alors je criais mes confessions pourries, n’ayant aucune réponse, ou solutions,
    Nous avons à peines pu comprendre les questions.
     
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
    Ils se rappelleront seulement de nos sourires, c’est la seul chose qu’ils ont vu.
    Depuis longtemps séchées, quand nous nous sommes trouvés, les larmes dans lesquelles nous étions noyés.
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
     
    Ne me pousse pas dans mon cercueil, j’ai peu surement refaire une vie quelque part autrement.
    S’il te plait, mon amour, donne moi le volant, avant que nos cœurs,
    Tout les deux, s’envolent ce soir (s’envolent ce soir).
     
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
    Souvient toi seulement de nos sourires, c’est la seul chose qu’ils ont vu
    Depuis longtemps séchées, quand nous nous sommes trouvés, les larmes dans lesquelles nous étions noyés.
    Comme nous étions, si parfait, si heureux.
     
    [Parler]
    Nos voix tremblantes fond maintenant partie de la musique.
    La voiture est en marche et déchire de plus en plus vite la nuit. Comme nos voix se sont calmé,
    La cadence a encore rattrapé l’air.
    Un peu plus haut, toujours plus vite, il y avait une courbe qui approchait.
    Elle ne m’a fait aucun signe pour que je ralentisse…

     

    Steinko


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